Stratégie proactive: limiter le recours aux méthodes conventionnelles (microscopie, analyse des toxines) qui sont coûteuses et qui ne permettent d’engager que des actions a posteriori.
Ceci répond directement aux besoins des professionnels de l’eau (tourisme, pêche, aquaculture), des autorités responsables de l’environnement aquatique et du risque sanitaire (laboratoires accrédités publics ou privés), ou des fournisseurs d’eau potable – entre autres, pour disposer de moyens de surveillance fiables et de systèmes d’alerte performants.